Trop grands pour être indépendants

 

Trop grands pour être indépendants

Conseil, déontologie et compétences

 

Devant la montée des théories dites du complot et des interrogations sur la politique menée au niveau mondial face au virus, il me parait urgent de rappeler quelques évidences simples, qui sous le choc que nous avons tous vécu, semblent avoir été oubliées.

Dans le domaine du conseil et de l’audit, existe une contradiction à peu près insoluble. La compétence d’un bureau de conseil et d’audit augmente en raison de son expérience et des informations dont il dispose grâce au nombre de ses missions et de ses clients, mais dans le même temps cette dimension cause des conflits d’intérêts qui le rendent non seulement inapte mais même dangereux pour certains clients potentiels.

Les grands cabinets de conseils au niveau mondial, ont pour clients principaux les grandes entreprises, multinationales le plus souvent. Il leur est impossible de donner des conseils à d’autres personnes juridiques, Etats ou associations ou personne, qui pourraient contrarier fortement les intérêts de ces clients principaux, soit directement, soit en nuisant à leur secteur d’activité.

Le seul fait pour un gouvernement, de recourir à l’un de ses cabinets, à propos d’un sujet concernant les intérêts de ces grandes entreprises, est donc par définition une faute politique. Car la mission d’un gouvernement est de veiller aux intérêts de son peuple, ainsi qu’à sa responsabilité envers les autres peuples, en les faisant prévaloir sur tout intérêt individuel privé d’une autre organisation.

Un gouvernement peut recourir ponctuellement, exceptionnellement, à des conseillers, ingénieurs ou savants ayant par ailleurs des revenus provenant d’entreprises privées, lorsque leurs compétences n’existent pas parmi les agents de la fonction publique de l’Etat, et tant qu’elles ne s’y trouvent pas. Mais ce recours doit rester marginal, sans quoi il n’y a plus d’assurance possible de la conformité des décisions du gouvernement, ou du législateur avec l’intérêt général ou bien commun du peuple, ni de respect de la souveraineté démocratique.

Lorsqu’un Etat manque des compétences internes à son administration ou bien que dans un pays, des compétences scientifiques et savantes indépendantes et des entreprises privées et du gouvernement font défaut, il est évident que le risque existe d’une définition des politiques de l’Etat en fonction des seuls intérêts des plus grands propriétaires d’entreprises privées ou de politiciens au pouvoir. Politiciens parvenant au pouvoir par le soutien de grands propriétaires.

Le fait que les carrières des personnes puissent se dérouler dans le secteur public puis dans le secteur privé, entrepreneurial d’une part et association d’autre part, et sans délai de viduité suffisant entre les divers emplois et fonctions, ajoute aux risques de conflit d’intérêt.

L’idée de complot est historiquement liée à une accusation d’intention malveillante, historiquement, les juifs sont décrits par les divers variantes de conspirationnistes comme voulant asservir ou détruire les autres humains. Elle réapparait forcément lorsque des politiques menées de manière identique dans de nombreux pays et responsables de nombres de drames, blessures et morts, sont décidées.

La réalité actuelle est qu’au niveau mondial, des Etats se trouvent en situation de rapport de force inférieur face à des propriétaires d’entreprises privées, et leurs politiciens encore plus.

La réalité actuelle est aussi que le rappel de l’existence de cette forme d’antisémitisme, qui était celui de Mein Kampf, est utilisé de manière perverse comme slogan stigmatisant, pour persécuter les opposants à ces politiques, en les assimilant au nazisme, aux génocidaires, alors qu’ils demandent, à juste titre, la transparence démocratique sur les décisions des gouvernements et l’application du droit à l’encontre des associations éventuelles de malfaiteurs et autres criminels.

Le rapport de force entre Etats et grands propriétaires d’entreprises, n’est lui-même en rien une fatalité. La détermination du droit de la propriété est toujours une décision et un choix politique. Elle est certes complexe lorsque des infrastructures lourdes apparaissent utiles pour créer des richesses utiles à la population. Mais reste avant tout politique.

La force publique n’est jamais que celle des personnes, des individus, qui exécutent les décisions résultant des législations, en application de tel ou tel droit de la propriété, qu’il s’agisse de propriété d’infrastructure, de biens naturels ou du vivant, de productions intellectuelles comme des autres.

La législation et les conventions internationales doivent donc être régulièrement réexaminées, en fonction du constat des abus rendus possibles par l’évolution des techniques et des connaissances.

Les historiens devront donc examiner, pays par pays, décision par décision, sur la base de quel conseil, par qui et quand et où, ont été prises les décisions dont l’effet sur la santé de la population a été affreux.

Telles que l’interdiction de prescrire des médicaments dont les contre-indications et doses toxiques sont connues depuis des décennies, telles que l’obligation faite y compris aux enfants de porter des masques réduisant l’oxygénation de leur corps, l’obligation faite à des populations de demeurer dans des habitations dont la température et l’aération nuisaient à la santé, la contrainte à subir des injections de produits dont les effets néfastes possibles ou connus avaient été expliqués par leurs inventeurs, et autres.

Ce n’est qu’une fois ce travail réalisé, qu’ils pourront savoir si parmi les décideurs se trouvent des personnes perverses dont le but était véritablement de tuer ou de faire souffrir ou d’asservir, ou pas, et quel a été effectivement leur rôle.

En attendant les résultats de cette recherche, le simple constat du recours par nombre d’Etats à des grands cabinets conseils internationaux pour définir leur politique sanitaire ou leur communication sur cette politique est un scandale historique majeur, car il implique par définition, la priorité donnée aux bénéfices des entreprises privées sur les besoins médicaux des populations. Crime politique capital s’il en est.

Comme l’expliquait le regretté Dr Zelenko, cette fois non seulement contre les juifs et en particulier les israeliens, mais contre tous les peuples.

Je rappelle à ce sujet que la règle indispensable à la justice est la présomption d’innocence, et qu’il parait évident que les personnes ayant elles-mêmes été vaccinées (avec les guillemets que chacun voudra mettre) ne peuvent être soupçonnées d’avoir eu d’intention malveillante envers ceux à qui elles ont demandé de les imiter.

Enfin, je mets en garde contre l’emploi abusif du terme complotisme, qui signifie normalement soit, une tendance politique à utiliser les complots, soit une tendance intellectuelle à présumer des complots sans avoir de preuves d’actes précis d’ententes, c’est-à-dire à avoir un raisonnement irrationnel, à confondre spéculation et preuves de faits, d’événements survenus dans la réalité.

Le fait de demander des enquêtes sur des évènements pouvant, selon certains indices, résulter d’ententes tombant sur le coup de lois, juridiques ou morales, est lui, parfaitement rationnel. Pour ce qui est du rôle des cabinets de conseil, demander les investigations dans le fonctionnement de ces bureaux et leurs relations avec les politiciens et entrepreneurs, est une démarche parfaitement normale dans une société démocratique.

Les campagnes de communications tendant à refuser totalement au public, aux députés, l’accès à ces données, accolent l’étiquette de complotiste à ceux qui font ces demandes, de manière malhonnêtes, en jouant sur la confusion dans les différentes formes de référence à des ententes. L’utilisation de cette confusion doit être dénoncée, et le piège qu’elle tend, évité.

Le piège sémantique consiste, à force de pression, en jouant sur le fait qu’un mot, qu’un sème, répété, entre peu à peu dans le langage, à faire croire qu’il faudrait se qualifier soi-même de complotiste pour demander une enquête, renforçant alors l’idée dans le public, que la confusion n’en serait pas une mais serait une proposition vraie : « Demander des enquêtes sur d’éventuels accords illégaux ne saurait être qu’une tendance irrationnelle issue d’esprits antisémites, ne saurait être que « complotiste » ».

Il est évident que l’anti-complotisme est la méthode utilisée pour protéger les entreprises et politiciens et autres responsables, contre des enquêtes judiciaires nécessaires, et non pas du tout ce qu’il se targue d’être, et que de véritables historiens comme Pierre-André Taguieff, font réellement, soit l’étude des textes et propos accusant généralement les juifs en général de malfaisance sans preuve de faits réels.  

Je demande la réintégration des suspendus


Je demande la réintégration des suspendus, avec réparation de tous les domaines causés par cette suspension contraire aux droits humains fondamentaux comme aux besoins de soins et de sécurité de la population.




 

Santé, mensonge et assassinat

 

En matière de santé, mentir c'est tuer, mentir c'est assassiner.

Très généralement il me parait peu utile de s’intéresser a la question de savoir qui est coupable, et plus urgent et important de savoir quelle erreur ou faute a été commise et pourquoi afin de la corriger et de la prévenir. Mais dans une situation où la vie de personnes est en péril en raison d’actions menées au nom de la morale et du juste, il devient urgent d’empêcher ces actions, en brandissant la menace de la Justice.

C’est pourquoi je demande des enquêtes sur tous les faits et complicité constitutifs, (notamment par le moyen de privation de médicaments autorisés depuis plusieurs années et de soins, et d’entrave à l’exercice des médecins et autres soignants), de :

-          Meurtre ou assassinat
-          Torture et autres traitements cruels
-          Mutilation et autres blessures
-          Contrainte au consentement
-          Séquestration
-          Incitation au suicide
-          Incitation à la haine
-          Discrimination

Il faut savoir précisément, qui a pris, quand, et dans quelles conditions, quelles décisions ayant directement ou indirectement entrainé la mort et la blessure ou la privation de moyens d’existence d’adultes et d’enfants et autres personnes vulnérables.

Peut-être que personne n’est responsable de tels actes, peut être les morts et blessures évitables qui n’ont pas été évitées, ne sont que le résultat d’erreurs faites dans des circonstances les excusant. Peut-être pas.

 

A 20 h, applaudissons pour la réintégration des "suspendus"

Entamons un mouvement de soutien aux "suspendus" : 

 

A 20 heures, ou que vous soyez, applaudissez pour la réintégration des "suspendus", c'est à dire des personnes soignants ou autres salariés d'hôpitaux ou cliniques etc ayant refusé d'être "vaccinées", et qui se voient interdire de travailler et privés de salaire et de toute indemnisation.

 

Un mouvement avait eu lieu au début de la crise du covid pour féliciter les soignants, consistant à les applaudir tous les soirs à 20 heures. 

 

Aujourd'hui des personnes sont sous le coup d'un régime contrevenant à toutes les règles du droit du travail, consistant à "suspendre" des contrats pour avoir refusé de subir l'injection de produits sous autorisation médicale provisoire, dont les tests ne sont pas terminés, et à priver les personnes "suspendues" de tout salaire, du droit de travail ailleurs, et de toute indemnité en cas de prétendue démission de leur poste. 

 

Il est temps de manifester quotidiennement, jusqu’à leur réintégration.

 

Les personnes refusant le "vaccin" le font par SENS DES RESPONSABILITES, par altruisme.

 

" Chers soignants suspendus, si vous doutez de l'utilité de votre geste, pensez à nos enfants,  car effectivement vous pouvez vous regarder dans la glace  vous disant " je n'ai pas cautionné cette folie expérimentale, (...) et donc si jamais on passe au stade d'après d'injecter les petits enfants, (...) vous aurez tout fait, le sacrifice de votre carrière, [pour que cela n'arrive pas]".  Alexandra Henrion-Caude, généticienne, spécialiste de l'ARN.

 

Je rappelle les paroles du Professeur Luc Montagnier au sujet des "vaccins anticovid"  : " Je ne me vaccinerai pas, MA CONSCIENCE ME L'INTERDIT".

 

Bien qu'à son âge et pour les personnes de son âge, la balance bénéfice/risque du moins lors de la présence des variants les plus virulents, aurait pu être prise en compte pour prendre la décision d'utiliser les produits autorisés en France (je rappelle que toute décision médicale est une décision individuelle, devant tenir compte de l’état physique de la personne concernée, donc pour les personnes âgées, de leur fragilité particulière), le Professeur Luc Montagnier a manifestement d'abord pensé à la portée d'un tel geste de sa part sur la santé des plus jeunes

 

Je rappelle les paroles du docteur Zev Vladimir Zelenko : " La seule raison pour laquelle vous pouvez vacciner les enfants, est si vous croyez au sacrifice humain des enfants". 

 

Pour une explication scientifique de mes affirmations, (dont je rappelle qu'elles ne sont que le produit de mes réflexions de non scientifique, de non médecin, de ma compréhension pouvant être fausse des propos des médecins et scientifiques), je vous invite à regarder les conférences des différents professeurs et autres scientifiques de l'IHU et du CSI de Réinfocovid.

 

Toutes ces conférences sont en français, et tout en convenant que je peux me tromper sur ce sujet, je me permets de rappeler à ceux qui, nombreux, refusent même de prendre connaissance des exposés de ces scientifiques : vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

 

Pour les plus cosmopolites, je rappelle que des médecins et scientifiques du monde entier, ont eux aussi rapporté des observations similaires sur les médicaments et soins utiles pour soigner les personnes contaminées par le virus et ses variants ou recombinés.

 

Quant à la rhétorique autant ridicule que malhonnête accusant les personnes demandant l’utilisation des soins possibles, de « complotisme », je lui répondrai ceci  (1): je suis khazare 100% et j’atteste que le complot sioniste juif khazare pour le génocide des autres peuples existe et que je le sais puisque je le dirige …

 

J’ajoute que ceux qui veulent croire que les firmes pharmaceutiques et cabinet de conseil ayant été condamnés pénalement pour des fraudes médicale ou pour avoir promu des stupéfiants et qui auraient du pour cela être démantelés, ne récidiveront pas, peuvent aussi laisser les clés de leur maison sur la porte et publier le code de leur carte bancaire : grâce à leurs bonnes pensées, aucun voleur ne les volera.


Bibliographie :

Rapport à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) par la Commission des affaires sociales du Sénat sur les "effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et système de pharmacovigilance français", par le Dr Amine Umlil, pharmacien et juriste : publié sous le titre : « L’impossible consentement » Book on demand 2022

Sites et vidéos sur les « suspendus » :

https://les-collectifs-unis.info/

https://www.youtube.com/watch?v=2f6YZ-gikkw : un médecin

https://www.youtube.com/watch?v=vOQO_Y0zbjA : conférence 11/7/2022

Rappel du droit par une infirmière : 


Exposé d'un des plus grands cardiologues : Pr Peter Mac Cullough sur les décès dus aux vaccins (comparant notamment les décès déclarés comme possible effet secondaire à la suite d'autres vaccins (150) et ceux déclarés à la suite d'autres vaccins (+ de 20000 à la VAERS) :




Agnes Roukline

Objectrice de conscience à l’injection de produits vaccinaux expérimentaux

(nb : si j'étais médecin ou autre soignante, j'aurais privilégié la présence auprès des patients sur d'autres nécessités)

 

(1(1)   : (1)  je précise que ceci est une blague faisant référence aux vraies thèses complotistes, c’est-à-dire les thèses antisémites, dont l’essentiel actuellement consiste à accuser les juifs ashkénazes de vouloir asservir et assassiner l’humanité.

 


Assemblee Nationale : rejet de l'article 2 du projet de loi sur l'urgence sanitaire

 



Projet de loi urgence sanitaire : Ma 2eme lettre aux parlementaires

 

Mme Agnes Roukline                                                                                   9 juillet 2022

Citoyenne de nationalité française

Expert comptable, Commissaire aux comptes

 

                                                                                                                2eme  Lettre aux parlementaires

Objet : – Projet de prolongation de l’état d’urgence sanitaire

Madame , Monsieur,

Tout comme le juge, le législateur doit rechercher la réalité derrière l’apparence, et la portée réelle des textes réclamés par l’exécutif.

L’article 1er du projet de loi du 4 juillet 2022 de la Première Ministre  proroge le délai prévu par l’article 11 de la loi du 11 mai 2020 jusqu’au 31 mars 2023.

Lequel article 11 de la loi du 11 mai 2020 prévoit une dérogation à la loi sur secret médical (Code de la santé publique article L1110-4).

Cette dérogation consiste dans la création d’un « système d’information » comprenant « l’identification des personnes infectées ».

La collecte de données médicales utiles pour faire face à une épidémie peut être faite sans porter de telles atteintes au secret.

Cette atteinte est par contre nécessaire pour la mise en œuvre des mesures prorogées par l’article 2 du projet de loi du 4 juillet 2022, soit la contrainte à la vaccination.

L’article 2 du projet de loi du 4 juillet 2022  permet au Premier Ministre d’ « imposer aux personnes âgées d’au moins douze ans, souhaitant se déplacer (…) ainsi qu’aux personnels intervenant dans les services de transport concernés » « un justificatif de statut vaccinal  concernant la covid-19 ».

Il s’agit donc bel et bien de contrainte au consentement à l’injection de produits qui ont entrainé à ce jour un très grand nombre d’atteintes graves à la santé des personnes, jusqu’au décès. ( Voir les données de la https://vaers.hhs.gov/ organisme géré par la Food and Drug Administration aux USA, de Eurdavigilance : https://www.adrreports.eu/fr/)

Etant donné la gravité des risques des vaccins autorisés en France contre le covid, il est insupportable qu’une telle contrainte puisse être imposée plus longtemps, ne fut-ce qu’à une seule personne.

Ce projet de loi représente donc bien derrière une simple demande de proroger une collecte de données, et de fourniture preuve de l’état de non infection pour quelques personnes se déplaçant, la prorogation d’atteintes lourdes au secret médical et d’une contrainte à consentir à une injection pouvant s’avérant mortelle ou cause de séquelles irréversibles.

 Voici pourquoi j’estime que ce projet de loi doit impérativement être rejeté.

Je vous joins les textes que je viens de citer, ainsi qu’un article de la Pr Fabre-Magnan, professeur de droit à l’université de Paris 1, sur la mise en danger de « l’Etat de droit » par les mesures dites d’urgence en vigueur depuis …  mars 2020, et sur l’ « effondrement éthique » qu’elles représentent, et un extrait de la base Eudravigilance.

Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, dans l’expression de mes salutations les meilleures,

Agnes Roukline

Ci-joint :

Code de la Santé publique Article L1110-4 : page 3

LOI n° 2020-546 du 11 mai 2020 prorogeant l'état d'urgence sanitaire et complétant ses dispositions , article 11 : page 3

Muriel Fabre-Magnan: «L'État de droit est-il malade du Covid-19 ?» : page 5

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/muriel-fabre-magnan-l-etat-de-droit-est-il-malade-du-covid-19-20211221   Publié le 21/12/2021 

Eudravigilance : page 11

 

Eudravigilance   9 /7 /2022

Pour le vaccin Pfizer :

https://dap.ema.europa.eu/analytics/saw.dll?PortalPages

Nombre de cas d’effets secondaires : 1 037 578 au 2/7/2022

DONT :

https://dap.ema.europa.eu/analytics/saw.dll?PortalPages

Cardiacs disorders :  

Fatal ( = mort) : 3147

Not recovered : 27350

Recevered with Sequelae : 3027

(…)


 

Projet de loi urgence sanitaire : Ma 1ere Lettre aux parlementaires 7/7/2022

 

Mme Agnes Roukline                                                                                   7 juillet 2022

Citoyenne de nationalité française

Expert comptable, Commissaire aux comptes

 

                                                                                                                  Lettre aux parlementaires

 

Objet : – Projet de prolongation de l’état d’urgence sanitaire

 

Madame , Monsieur,

Les données et observations réunies par les plus grands scientifiques et médecins mondiaux à ce jour, (systématiquement diffamés par les grands médias), et les organismes répertoriant les effets des produits pharmaceutiques, montrent :

-          que les effets toxiques des produits auxquels les populations sont CONTRAINTES de se soumettre ont été pour partie connus AVANT la crise actuelle (notamment parce que l’inventeur du vaccin a ARNmessager, Robert Malone, en a lui-même averti ) et ne sont pas encore tous connus, ,

-          que les mesures prises par la plupart des pays d’occident ont des effets pires que le mal, et que quasiment leur seul bénéfice certain est de nature financière pour certains.

Le projet de loi comprend des mesures tendant concrètement, (en continuant à pouvoir « emmerder » les récalcitrants – je cite le Président de la République -) à :

-          contraindre à utiliser des produits qui sont toujours sous test et ne bénéficient que d’une autorisation provisoire de mise sur le marché

-          alors que pendant le même temps, les médicaments et soins anciens et surs utilisés dans d’autres affections virales, et dont l’efficacité sur les malades du covid a été observée médicalement, ont été de facto interdits,

-          et alors que des médecins et soignants sont mis a l’écart des malades en raison de leur refus de contribuer à une opération expérimentale a grande échelle

Et à :   - perpétuer des atteintes au secret médical,

-          alors qu’il existe quantité d’entraves a la circulation des informations nécessaires pour lutter contre cette maladie : censure des plus grands scientifiques mondiaux, censure en amont des recherches et publications, désormais aux mains d’industriels ou de groupes financiers privés

La CONTRAINTE et LES ENTRAVES AUX SOINS, sont radicalement opposées aux principes essentiels du droit français et à l’éthique médicale. Des enfants et adolescents sont MORTS à la suite de l’utilisation de ces produits. Sacrifier la santé de plus jeunes pour éviter des risques aux plus âgés est totalement immoral.

Les livres récents de Laurent Toubiana et du Pr Christian Perronne montrent l’aberration de la politique actuelle. Nombre d’autres grands professeurs, dont Pr Peter Mac Cullough, cardiologue mondialement réputé parmi ses pairs et le Pr Alexandre Grigorevich Chuchalin, pneumologue, académicien russe, ont protesté (https://www.nkj.ru/open/38931/ НАУКА И ЖИЗНЬ « «Мы должны сделать лекарство, а не бомбу замедленного действия» Алекса́ндр Григо́рьевич Чуча́лин"Il faut faire un remède, pas une bombe à retardement"). Nombre de médecins et probablement de parlementaires ignorent les travaux publies en ANGLAIS sur les questions médicales liées au nouveau virus, et semblent ignorer les moyens des grandes industries pour dénigrer les scientifiques dont les constats ou questions nuisent à leurs profits. Je vous ai donc joint quelques-uns des sites anglophones et l’article d’un scientifique sur les moyens utilisés pour dénigrer leurs travaux dans les médias. En France, l’association REINFOCOVID (association de scientifiques et médecins) et bien sur l’IHU et le Pr Didier Raoult, diffusent aussi des recherches et explications scientifiques capitales.

Je vous demande de prendre connaissance de ces éléments, et de VOTER CONTRE CE PROJET DE LOI.

Je vous demande par ailleurs de faire une proposition de loi pour la réintégration de tous les médecins et autres personnels « suspendus » en contravention avec tous les principes du droit du travail et le préambule de 1946. Les personnes « suspendues » n’ont droit à aucune ressources ni prestations, car elles sont censées ne pas être licenciées, ni à la recherche d’un autre emploi tant qu’elles sont fonctionnaires, et certaines ont été chassées de leur logement de fonction malgré des enfants à charge …

Je vous demande de mettre fin aux limitations de prescriptions de médicaments anciens connus dont les précautions d’emploi sont parfaitement connues, pouvant être utilisés dans affectations pulmonaires (telles l’incitation à la dénonciation de prescriptions par les pharmaciens) et d’interdire la persécution de médecins en raison de leur prescription de ces médicaments, (ainsi que par ailleurs de mettre fin aux recommandations de produits faisant baisser la fièvre alors que celle-ci permet au corps de détruire les virus,  …). Cette interdiction constitue une ENTRAVE AUX SOINS, une perte de chances de survie pour nombre de personnes. Je rappelle que le « charlatanisme » est normalement le fait de faire renoncer des patients à des vrais soins. Or aujourd’hui des médecins sont condamnés quand ils n’obéissent pas à l’injonction de .. ne rien donner, de ne pas soigner tant que les malades ne doivent pas être hospitalisés …

 

VOTRE ROLE DE PARLEMENTAIRE EST CAPITAL ET POUR LA DEFENSE DE LA SANTE ET POUR LA DEFENSE DE LA DEMOCRATIE :

Nous sommes dans une situation mondiale où la défense de la santé des personnes est menacée par la puissance des groupes privés.

Le SEUL objectif d’une entreprise est le profit pour ses actionnaires. Il est dans leur logique intrinsèque (sans sombre projet aucun …) de discréditer les scientifiques prônant des soins nécessaires à la santé mais réduisant les profits.  Leur puissance est telle que le principe de séparation des fonctions, (ou absence de conflit d’intérêts) ne peut guère être respecté : le PIB mondial global est de 73 000 milliards de dollars, le montant des actifs de l’entreprise Blackrock est de 10 000 milliards de dollars … Seuls deux pays ont un PIB de plus de 10 000 milliards de dollars : la Chine et les USA. 

Mais vous, en tant que parlementaire, vous pouvez écouter les scientifiques, les professeurs de médecine, les faire connaitre au public, afin que la loi protège la SANTE avant tout. Oui, nous « sommes en guerre », contre des virus et avec la corruption, et il faut du courage … 

J’attire votre attention sur le fait que l’opposition aux parlementaires d’un « secret des affaires » concernant les contrats d’achat de vaccins, rend leur mission de contrôle du budget impossible, en violation des articles  14 et 16 de la déclaration de 1789. La violation de la Constitution sur une question aussi grave représente le remplacement de notre démocratie par un régime oligarchique,

Je vous prie de croire, Madame, Monsieur dans l’expression de mes salutations les meilleures,

Agnes Roukline

Documents joints :

 

(la traduction est faite par google traduction)

 

https://worlddoctorsalliance.com/    page 4, 

 

https://worldcouncilforhealth.org/   page 9,

 

 https://aapsonline.org/   diffusant un guide de soins précoces à domicile ,  page 11 

 

https://covid19criticalcare.com  page 13, 

 

https://www.theguardian.com/commentisfree/2009/may/09/bad-science-medical-journals-companies  Article sur la politique de « destruction discrédit » page  16.

 

 

Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789

Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée. 

Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.

Reponse a la lettre du Dr Amine Umlil : « Atteinte a la dignite de la personne humaine » du 16 avril 2022

 



Reponse a la lettre du Dr Amine Umlil :  « Atteinte a la dignite de la personne humaine » du 16 avril 2022

 

Merci Dr Umlil,

Pour vos connaissances pharmacologiques et juridiques, et pour votre courage, qui lui nous protege.

Comme vous j’ai un « profil » non pas seulement de discrimine mais meme de persecuté massacré, et je ne l’ai jamais été en France depuis ma naissance, et j’ai pu naitre grace au courage de personnes qui ont mis la vie de leurs famille en danger pour la mienne qu’ils ne connaissaient nullement et qui n’etaient ni de la meme origine, ni de la meme religion, juste humains et combattants,

comme vous certainement et cela va presque sans dire, je suis antinazie absolument, absolument contre l’idee de race qui serait superieure en valeur aux autres.

Respecter la presomption d’innocence implique de partir d’hypothese que tous les maux peuvent etre le resultat soit d’imponderables, soit d’une accumulation d’erreurs, de lacheté inconscientes, d’ignorances réelles, mais sans éliminer aucune hypothese criminelle non plus, a commencer par envisager la sienne propre selon les actes que l’on realise ou dont on s’abstient.

Peut etre comme vous mais pour le dire en mes termes, je pense aujourd’hui que le choix aujourd’hui est entre : laisser continuer un gouvernement qui m’apparait ( c’est mon appreciation de la logique de son action ou du resultat objectif de son action, sans pouvoir connaitre l’intention consciente et le for interieur d’autrui, et donc sans pouvoir lui (ou a aucun des ministres) attribuer aucune intention donc aucun delit, tout pouvant etre le resultat d’erreurs, gravissimes certes, mais erreurs involontaires ) fondé sur la loi du profit uniquement ou arreter, et donner le pouvoir a une femme qui n’a de cessé de signifier son opposition au nazisme, (et dont le père ne cesse de rappeler qu’il a voulu, adolescent, s’engager dans la resistance armee au nazisme et a été refuse a cause de son jeune age) (meme si j’ai plus que des reserves sur certains aspects de son parti) dont je rappelle qu’il est l’ideologie selon laquelle une categorie d’etres humains (sur des criteres genetiques) serait superieure en valeur a d’autres qu’elle aurait le droit de massacrer ou esclavagiser,

Je considere que le fait de fonder une politique sur la loi du profit uniquement revient a considerer une categorie d’etres humains (sur un critere de pouvoir economique) comme superieure en valeur a d’autres qu’elle aurait le droit de massacrer ou esclavagiser selon son bon plaisir. 

Ce qui est fait actuellement aux médecins et autres soignants pour les réduire a la famine et la pauvreté absolue s’ils refusent de dire que la politique dite sanitaire actuelle est la bonne, est à mon sens un acte cruel, inhumain et degradant, une torture mentale, et fait indubitablement penser aux cruautés des nazis ( je n’attribue pas cette intention conscience au gouvernement, je dis ce que cette situation est effectivement selon mon interpretation) du type « choix de Sophie » n’offrant comme choix aux personnes pour jouir de les avilir avant de les tuer, que le choix : soit de tuer l’une ou l’autre des personnes qu’elles aiment avant d’etre soi meme tue ou torture de toute façon, soit d’etre tué, ou du type « ghetto », soit les lieux ou les gens étaient affamés, car inéluctablement, il y aura dans la masse de gens qui effectivement peuvent avoir un entourage pour leur venir en aide, des gens qui finiront a la rue, avec des enfants, et des enfants enleves a leur parents et exposés comme on ne le sait que trop, aux prédateurs attirés par les institutions pour enfants eloignés ou prives de parents protecteurs , des gens privés de soins, et tortures par la rue et la maladie. C’est cela concretement : « emmerder les non vaccines ».

C’est un « choix de Sophie », car donner son aval a la politique actuelle de privation de soins et faciliter intellectuellement la proliferation d’injection de produits experimentaux dont les effets secondaires sont enormement superieurs a tous ceux des autres produits nommes aussi vaccin ( dont la mort de personnes a la suite de telles injections), c’est a mon avis, prendre le risque de tuer indirectement, dont des enfants. Les enfants sont tous nos enfants, nous sommes tous responsables de ce qui leur est fait et a quoi nous pourrions nous opposer.

Parce que je suis RESPONSABLE, pour ma part, je refuse de risquer de tuer et blesser indirectement mais a mon avis certainement, en donnant cet aval là.  Je suis refuznik, je suis objectrice de conscience. Parce que sans etre croyante il m’a toujours semblé qu’il fallait agir comme si l’on l’était et savoir que nous serons tous jugés.

Par consequent, mon choix sera le meme que le votre.  Je dirai par là : non a la marchandisation de tout et tout-e-s, oui a la défense de chacune des personnes humaines, universellement. Merci enormement.