Plan B et Reconstruction

Le capital ou patrimoine naturel : capital sol dont parle Claude Bourguignon,  (voir l'article ci dessous), capital espèces animales, se détruit aujourd'hui.

Les corps humains sont en péril, intoxiqués par des poisons et violences.

Un investissement massif serait nécessaire pour construire des infrastructures adaptées à une agriculture et à une éco-lo-économie pérenne.

Un plan de reconstruction.

Un plan B pour sortir de la situation risquée et limitée où nous nous trouvons.

Où est le plan B en cas de perturbation des transports de nourriture des humains et des bêtes en France ? ...
Où sont nos stocks de réserves ?

Nous avons régressé.

Par exemple depuis, selon le récit hébreu, la première démarche d'un juif envers un peuple étranger, qui fut une démarche d'aide pour se nourrir soi-même : l'interprétation du rêve de Pharaon par Joseph sur les sept et sept vaches. Un récit datant de plusieurs millénaires ( 700 ans avant Jésus-Christ environ).

Un plan à penser au niveau mondial. Pour faire reverdir au maximum les déserts et leurs zones limitrophes. Pour planter des arbres, partout.

Mais la condition préalable pour entrer dans cette démarche, est d'abord philosophique, morale, peut-être spirituelle.
Il s'agit de mettre en premier ordre d'importance, chaque personne humaine, et son intégrité.
Il s'agit de reconnaître chaque être humain vivant comme un sujet et non objet.
Comme être formant une unité non dissociable : corps et esprit, intégrité physique comme psychique.

Ceux qui idolâtrent d'autres "choses" : le PIB, l'argent, la force, leur "développement personnel", ou des biens utiles et nécessaires à la vie comme la propriété ou les arts ou l'identité, mais qui ne doivent être que subordonnée à la vie humaine qu'elles sont là pour servir, ne peuvent pas démarrer un tel plan.

L'esprit du " just " : juste à temps, juste là où il est nécessaire, soit l'esprit de l'adaptation des moyens au but, doit s'étendre à la notion de " capital ".
Le Capital est utile, s'il est " just " là où il est nécessaire pour assurer la pérennité des patrimoines. Au delà, la capitalisation s'avère destructive.